La pécheresse

J'viens poster un truc ici, ET OUAIS ! bitch please

Plus sérieusement, je pense intégrer cette histoire à un autre truc, mais elle est parfaitement compréhensible sans le reste du cycle, doooonc... En plus elle devrait être assez courte chat

Donc euh... On commence par le prologue, heing ! Et je posterai la suite quand j'en serais satisfaite, point.

Brefouille, voilà le prologue ! \o/

Alors que je marchais le long du chemin poussiéreux devant me mener au quartier général de l’Organisation, de nombreuses paires d’yeux me fixaient. J’en suis une, effectivement. C’est pour cette raison que l’Organisation m’attend ce matin. Bien que ce soit devenu courant, les gens comme moi sont toujours mal vus. Et, si je puis me permettre, il me semble que c’est tout à fait légitime. J’ai péché. J’ai pris une vie, le jour de mes 18 ans. La vie d'un membre de ma famille. Aujourd’hui, je serais jugée. Mais je sais déjà quelle sentence me sera attribuée. Je vais devoir expier mes fautes. Racheter mes erreurs. On va m’intégrer à la brigade Capitale, ces gens qui ont tué mais à qui on donne une chance de rédemption. On leur donne une nouvelle opportunité de vivre car ils ont souffert autant que leur victime. Ils ne peuvent être que sept. Et je serais de ceux là. Je tuerai pour punir. Et bientôt, bientôt… Je serais libre.

ENJOY

(et j'autorise les critiques, parce que je suis pas un tyran pokerface

)

la suite!

T'es bête ou quoi ? T'as déjà eu le chapitre un pokerface

et alors? u.u faut le montrer aux autres u.u (pour que je puisses commenter sans spoil)

Ouais la suite !!! (pour les même raisons qu'Inu)

Chapitre 1 : Vers la liberté

Ma première attribution. Le premier pas vers mon salut. Je franchis la limite du village et mon ventre se mit à gargouiller. Je reste humaine après tout. Amusée, je me dirigeais vers un restaurant, qui ressemblait plutôt à un bouiboui. Lorsque j’entrais, le silence se fit. L’Organisation m’avait prévenue, on n’aime pas ceux comme moi. Enveloppée dans la grande cape noire fournie par la brigade, je passais commande. Au moment de payer, la main tendue vers le patron, il fixait les menottes à mon poignet. Il y en a cinq en tout. Cinq chaines qui lient mes mains. Il parut soulagé ; c’est un bas niveau. Mon crime ne demandait que cinq meurtres justifiés pour ma libération. Lorsque je ressortis, rassasiée, les conversations reprirent à l’intérieur.
Je me dirigeais vers l’office de l’Organisation du village, qui m’informa sur ma cible. Quelque chose enlevait et tuait sans distinction à la nuit tombée, dans l’ancien quartier. Il dévorait ensuite le cœur de ses victimes. L’employé en face de moi m’informa que la cible n’était pas des plus fortes, et qu’elle me conviendrait pour un début. Il ajouta qu’il s’agissait d’un ancien patient de la maison de vieillesse du village. Cette nuit, je devrais l’intercepter et le neutraliser. Définitivement. Je patientais donc dans la salle d’attente du petit bureau jusqu’à ce que la première étoile apparaisse dans le ciel. Lors, je me dirigeais la vieille ville. Un hurlement retentit. Je m’orientais en direction du cri et me mis à courir. J’attrapais la hallebarde accrochée dans mon dos, et me retrouvais soudain face à un monstre hideux. C’était un humanoïde, aux excroissances boursouflées sur le corps, et il se penchait sur ses victimes de la soirée. Celles-ci tremblaient, gémissaient, pleuraient. Incapables de faire quoi que ce soit d’autre. La créature avançait vers elles ses griffes anormalement longues, prêt à les réduire en charpie. Je courus au devant de la bête et le bloquait silencieusement. Ses yeux s’étrécirent. Il n’aimait pas la résistance. Je hurlais aux personnes derrière moi de fuir, et dans un grand vacarme, ils eurent vite disparu. Furieux, mon adversaire poussa une longue plainte aigüe, et se jeta sur moi. Je parais chacun de ses assauts, battais en retraite en cas de nécessité, et l’observais attentivement en quête d’un point faible. Ca s’annonçait plutôt mal : sa peau était apparemment cuirassée, recouverte d’une substance miroitante le clair de lune, et ses protubérances noires et palpitantes explosaient aléatoirement lorsque je m’en rapprochais. Je cherchais un moyen de contrer ce corps désarticulé, alors que je venais d’échouer à lui crever les yeux, quand, essoufflée, je m’arrêtais un instant. Un moyen de le faire imploser… Décidée, j’avais une idée derrière la tête. Je ramassais une poignée de cailloux et retournait d’un pas ferme dans la bataille. Je dois le battre. Il était plutôt lent, je me mis donc à courir autour du monstre, lui jetant des cailloux et le faisant exploser de parts et d’autres. Désorienté, il tomba par terre. A ma merci. Et là, je pus voir son point faible. Une fine ligne noire sur le cou. J’abattis ma lame et lui tranchais la tête. Et puis, selon les rites imposés par l’organisation, je prononçais ces paroles destinées à séparer l’âme humaine de celle de la créature :
« Que chacun d’entre vous poursuive sa route, et aille vers un destin qu’il a mérité. N’entretenez pas de rancœur. Allez en paix. »
Et je m’éloignais. Je doute que ce genre de propos ait un quelconque impact sur quelque habitant de cette planète. Mais ce n’est pas mon problème. Plus tard dans la nuit, une unité spéciale, envoyée par l’Organisation, vint chercher les restes du vieillard. Ils procèderont à une autopsie. Le lendemain matin, je me rendis à l’office du village. Là, un avocat de l’Organisation m’attendait. Sans un mot, je me présentais à lui. Il défit une des paires de menottes qui maintenaient mes poignets attachés. Parfait, plus que quatre. Silencieusement, je lui tournais le dos et sortit. J’allais passer les portes du village, quand on m’interpella.
« Mademoiselle ! »
Je me retournais. Il s’agissait d’enfants.
« Nous voulions vous remercier. Maman a été enlevée cette nuit, vous l’avez sauvée. Merci. »
Je hochais la tête, puis partis, en leur soufflant tout de même une réponse.
« Ne devenez pas comme moi. »

Il est court mon chapitre un chat

Me suis pas relue, mais OSEF bitch please

donc je disais, une hallebarde c'est cool mais pas maniable et peu pratique en combat rapproché je lui mettrais un truc plus petit et léger mais tu fais comme tu veux ^^
par contre j'essaie de m'imaginer le monstre et... berk >.<

Ouaaaiiis, j'suis pas douée pour décrire les monstres pokerface

La hallebarde est COOL, compris ? fatson

mais de toutes façons elle sait faire avec autre chose, tu verras chat

j'espère XD parce que sinon c'est pas cool X)
et pis il est berk quand même ton monstre béééé veux pas le voir moi >.<

T'aimes pas les hallebardes

C'est un monstre chat