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| | Les Histoires de Nian-Takerette | |
| | Auteur | Message |
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Nian-Takerette Vainqueur du concours photo de Noël
Messages : 1720 Date d'inscription : 12/01/2012 Age : 26 Localisation : Japon
| Sujet: Les Histoires de Nian-Takerette Dim 4 Nov - 22:49 | |
| LES HISTOIRES DE NIAN-TAKERETTE Vous l'avez bien compris je créer ce sujet pour partager les Histoires que j'ai moi-même écrite. Excusez moi d'avance pour les fautes d'orthographe qui risque de vous brûler les yeux xD N'hésiter pas a faire part de vos critiques, compliments, ou si vous avez des idées d'histoire ce qui m’intéresse beaucoup ^^ Tous d'abord je mes les 2 nouvelles que j'ai écrite pour Halloween : Phoebe : - Spoiler:
Vous allez me dire « oui encore une histoire pour halloween, encore et toujours l’éternel histoire… des gens, des monstres, du sang ou je ne sais qu’elle histoire abracadabrante que tout le monde peut imaginer … » Mais mon histoire ne sera pas comme ça. J’ai envie de faire un peu plus dans le rechercher, dans l’inventif et l’original. Peut-être que ça ne plaira pas mais en tous cas j’aurais pris beaucoup de plaisir à l’écrire. Phoebe étais enfin rentré chez elle, elle avait passé la journée à réciter des incantations pour détruire des Démons, Lycanthropes et autres Manticores maléfiques. Elle était épuisée, lessivée, mais c’était son travail à elle, comme toutes les bonnes sorcières de ce monde elle luttait contre le mal. Mais parfois, elle rêvait d’une autre vie, une vie moins seule, avec plus d’amour. Non elle ne voulait pas avoir une vie comme tout le monde non plus, elle ne se séparerait jamais de ses pouvoirs, elle était née dans le monde de la magie, et mourrais ainsi. Mais ce monde de magie auquel elle tient tant, lui empêche d’aimer qui elle veut… ce il avait un nom, Adrian McConnor, un Marines qui vivait de l’autre côté de la rue. Tous les matins Phoebe le voyait s’en allait à la base, revenir le soir essoufflée par les 10km de courses quotidiennes. Elle souffrait de son absence quand il partait en missions pour plusieurs mois à l’étranger. Malgré qu’il venait d’un autre milieu, elle se sentait proche de lui, elle lui parlait assez souvent et finalement ils étaient comme de bon vieux amis qui se connaissaient depuis toujours. Ils avaient tous de même des points communs, en quelque sorte ils se battaient tous les deux contre le mal. Mais Phoebe ne lui avait jamais avoué qu’elle était une sorcière, elle lui avait toujours fait croire qu’elle travaillait chez elle, en triant des données pour l’armée. C’est encore dans ses rêves d’amour que Phoebe finit pas s’endormir profondément. Le lendemain matin, Phoebe se leva, assez tôt comme à son habitude. Ce matin-là quelqu’un sonna à la porte. Elle alla ouvrir : - « Bonjour Phoebe ! » - « Adrian !! Je ne m’attendais pas à te voir aujourd’hui ! » - « eh bien je suis venue pour t’annoncer une bonne nouvelle ! Tu ne vas jamais me croire ! » - « oh vraiment ? Viens entre et raconte-moi ça ^-^ » Phoebe fit entrer Adrian. Elle alla chercher du café dans la cuisine pendant qu’il s’installait dans le canapé du salon. - « Alors qu’a tu à m’annoncer si soudainement ? » - « Tu sais que je t’ai toujours considéré comme ma meilleure amie Phoebe... » - « oh... euh … oui je le sais... » Phoebe commença à rougir, lui faisait-il sa déclaration ? Adrian lui pris les mains. - « Adrian … je ne m’y attendais pas… je croyais que … » Elle n’eu pas le temps de finir sa phrase. - « Je savais que tu m’aurais soutenue ! Tu as deviné ! Je vais me marier !! Et je voudrais que tu sois mon témoin ! » Phoebe le regarda, les larmes aux yeux, elle n’arrivait plus à parler, aucuns mots de pouvais sortir de sa bouche… - « Tu ne dis rien ? » Phoebe étais anéantie, elle savait qu’elle n’avait pas le droit de l’aimer mais quand même elle espérait … maintenant qu’allait t’elle lui répondre ?
- « je… je suis contente pour toi Adrian… ça sera avec plaisir d’être ton témoin… » - « je savais que tu dirais oui !!! merci beaucoup !! » Adrian pris Phoebe dans ses bras, l’embrassa sur la joue et partit plus heureux que jamais. De son côté Phoebe elle, resta là, sur son canapé, les yeux et les pensées vides, comme si le monde s’était arrêté. Les jours passèrent et plus Phoebe étais triste, abattue, elle passait ses journée à soupirer dans son canapé en regardant des vieilles séries. Mais au bout d’un moment ça suffit, une après-midi, elle éteignit la télé et monta en haut… alors qu’elle arrivait à peine dans le couloir que les larmes montaient. Alors elle sécha ses larmes et laissa éclater toute sa colère ! Elle cria de rage, pire qu’un loup garou affamé, elle cria si haut et fort que même au plus profond de l’océan on l’aurait entendu. Alerté par ses cris de colère, de tristesse et de rage intense, trois Furies se mirent en chasse pour la maison de Phoebe. Oui des furies, créatures mythologiques du monde des sorciers. Quand une sorcière est submergée par la colère, les Furies sont attirées par celle-ci et en font une des leurs. A l'instar des Bannies, la mutation n'est définitive que si la nouvelle recrue assassine une personne. Après cet énorme cri rempli de haine, Phoebe s’écroula par terre. Soudain, le sol de la maison se mis a tremblé, Phoebe leva la tête, les lumières s’étaient éteintes, des petits échos de rires retentir dans la maison. Les Furies étaient là, attirées par toute cette colère. Phoebe était une sorcière, elle avait bien compris qui était chez elle, ces petits ricanements… Elle partit s’enfermer dans sa chambre, quand une des trois Furies surgit de la salle de bain. Elle avait cassé la petite fenêtre et défoncé la porte. Elle sauta immédiatement sur Phoebe. Mais cette dernière riposta, et lui fit prendre le mur du couloir. Phoebe arriva en courant devant la porte de sa chambre, mais une autre Furie sortit brusquement de sa chambre et se jeta sur elle. Mais Phoebe n’eu le temps de réagir, et fut projeter de l’autre côté du couloir. Mais elle se releva et fuit en courant dans les escaliers, se heurtant contre les murs. Mais la dernière des trois Furies l’attendait en bas. Phoebe étais piégée. Elle fonça tête baissé sur la troisième, il ne lui restait que ça à faire de toute façon. La Furie l’attrapa par le col, voulant lui fracassé la tête contre les marches de l’escalier. Mais Phoebe lui donna un coup de tête, et couru vers la porte de derrière. Une Furie repartit par la fenêtre de la salle de bain tomba pile dans le jardin. Phoebe était à bout de souffle, elle eu juste le temps de prendre un couteau dans la cuisine quand la Furie ouvra sa bouche, elle lui planta le couteau dans la joue. Celle-ci hurla comme un chien enragé et s’effondra par terre terrassé par la douleur. Pendant ce temps les deux autres étaient descendus. Phoebe reprit le couteau dans la joue d’une d’entre elles et se remetta à courir. Mais l’une l’attrapa par la jambe, ce qui la fit tomber. Phoebe se retourna et planta le couteau dans la main de celle-ci. Mais la troisième la tête, et la cogna contre la porte de la cuisine plusieurs fois. Phoebe essaya de se résistait encore un peu …. En vain …
Phoebe se réveilla deux jours plus tard, sur le lit d’une base militaire, le corps couvert de sang, les yeux noirs comme le néant, allongée sur le cadavre d’un Sergent. Ça y’est, elle était devenu une Furie pour toujours, prisonnière des enfers. La marche des zombies : - Spoiler:
Gwendoline s’ennuyer, elle tourner en rond dans sa chambre, s’allonger sur son lit, aller en bas, remonter dans sa chambre… Son père en avait marre de la voir monter et descendre sans arrêt, il lui dit alors de rester quelque part et de lire. Gwendoline pris le journal et monta dans sa chambre. Elle feuilleta celui-ci pendant quelques minutes quand elle tomba sur la page intitulé « Zombie Walk Lille 2012 ». Elle était tout de suite inspirée en lisant le petit paragraphe explicatif. Elle appela aussitôt Claire, Maureen et Clémentine. Elle leurs expliqua la situation : « 4 jours avant Halloween, un grand rassemblement a lieu, La Zombie Walk (La Marche des Zombie en Français). Cela consiste à venir déguiser en Zombie, et faire des activités sur place (flash mob, défilé, maquillage, concours du meilleure déguisement, etc…) ». Clémentine refusa immédiatement, elle se connaissait bien, elle aurait peur elle le savait. Gwendoline s’en était un peu douter... mais il rester encore Claire et Maureen ! Claire ne savait pas trop, elle hésitait et dit qu’elle allait demander à ses parents. Maureen demanda tous de suite à ses parents et la réponse fut positif. Quelques jours plus tard avait dit a Gwendoline que ses parents lui avaient dit oui mais elle ne savait toujours pas… Après que Gwendoline l’est suppliée de venir, elle finit pas accepté. Venue le jour J, Gwendoline, Claire et Maureen se rejoint tous chez Maureen. Gwendoline arriva la première, impatiente de commençais, suivit de Claire qui avait étais surpris par la pluie. C’est dans la chambre de Maureen qu’elles commencèrent par le faux sang. Elles s’en mettèrent d’abord sur les mains, puis sur les bras et ensuite le corps. Gwendoline avait bossé 2 jours sur son costume, elle serait un bon vieux Zombie, Pantalon déchiré et chemise ensanglanté. Claire elle avait étais prise au dépourvu et ne s’était pas trop casser la tête, elle serais une écolière zombie avec une jupe et une chemise comme dans les uniforme des école privées, mais tachés de sang et craquer. Quand a Maureen elle c’était déguiser en zombie sophistiquer, une belle robe noir, des grosses bottes et un manteau déchiré, elle compter plus sur son maquillage que ses vêtements. Elles finirent de se maquiller chez Gwendoline qui habitait à quelques maisons de là. Une fois prêtes, elles prirent le bus, le chauffeur de bus les regarda bizarre mais les laissa tous de même montaient. Le trajet du bus sembler assez long, elles étaient impatientes d’y être car cela promettez d’être une bonne journée. Après êtres s’être préparé pendant 2heures, pris le bus, et manger au McDonald elles arrivèrent enfin à la grande place République, là ou avais lieu le rassemblement. Sur place tous était au rendez-vous, le concours du meilleure déguisement allait commencer. Trois juges allaient se balader dans la zone délimiter et observer chaque candidats, il regarder la démarche, le costume et le maquillage. Malheureusement Claire, Maureen et Gwendoline ne gagnèrent pas car c’était la première fois qu’elle participer et n’avais pas vraiment de matériel spéciale. L’après-midi fila a une grande vitesse, car elles n’avaient pas le temps de s’ennuyaient, même si elles avaient étaient assise pendant longtemps. Ça y’est, il était 17h, le défilé aller commencer. Tous les Participants à l’événement se rassemblèrent autour de la fontaine. Une voiture décorer pour l’occasion était en début de fil, suivis par tous les Zombies. Même la télé était là. Les trois filles suivèrent elles aussi le défilé. Mais le ventre de Gwendoline crier famine, après réflexion Maureen aussi avait faim. Claire aperçu une crêperie car le cortège passer juste devant, elle interpella ses deux amies. Gwendoline et Maureen s’achetèrent une crêpe, Claire n’ayant pas faim, elle les attenda. Quand soudain un bruit pire que la musique qui accompagner les zombies retentit dans les rues de Lille. Claire se retourna, elle vit un Zombie s’approcher d’elle. Elle rigola car elle le trouver particulièrement bien fait. Mais celui ne la lâchait pas… Elle lui dit qu’il était pas mal son costume mais il rester planté là son air béta à mâchouiller ses paroles. Elle commença à s’énerver et lui demander de partir, ça suffisez, les blagues les plus courtes sont les meilleures. De leurs coté Gwendoline et Maureen n’avais prêté plus attention que ça a l’énorme bruit, elle mangé et rien ne pouvait les perturber. Quand Claire revint vers eux, elle tappa sur l’épaule a Maureen et dit d’une petite voix : - « euh … les filles … » Maureen se retourna et vit les zombies s’approcher de plus en plus vers eux. Gwendoline qui venez de finir sa crêpe, leva les yeux et se retrouva nez à nez avec un zombie. Elle rigola. Mais Maureen qui était juste à côté avec Claire, dit : - « Gwen… je crois que tu ne devrais pas rire… regarde un peu autour de toi » Les trois filles étaient encerclées par les autres participants. - « qu’allons-nous faire ? » - « on est perdu ! » - « arrêter avec vos vieilles réplique de film qui servent à rien ! Moi je sais ce qu’on va faire ! » - « vraiment ? » - « on fonce dans l’tas !!!!!! » Claire fonça sur les Zombies suivie de Gwendoline et Maureen. Claire poussa les zombies pour faire un passage. Maureen qui avait lâché sa crêpe avait du mal à courir avec ses grosses bottes. Elles arrivèrent dans la rue de Béthune, l’arrêt de bus d’où elles venaient était juste à côté. Mais les zombies étaient partout. Elles passaient par les terrasses de café, bousculer les passants, trébuchés sur les pavés mouillés. Elles étaient enfin arrivées à l’arrêt de bus, mais les - « on fait quoi maintenant ?? » - « bonne question…. » - « Les zombies arrivent !! On fait quoi ?? » - « on se cache derrière dans la rue d’en face !! Ils n’iront pas jusque-là je pense » - « d’accord vite ! » Elles allèrent donc dans la rue d’en face et se cachèrent dans les d’escaliers d’un immeuble. - « ici on est tranquille je pense » - « on va pouvoir pensée » - « bah ouais mais pour faire quoi ? Y’a pas grand-chose à faire dans ce genre de situations… a part devenir à notre tour des zombies…. » - « commence pas à être défaitiste toi » Soudain, le bruit sourd repris de plus belle, plus s’estompa. - « encore ce bruit étrange » - « mais je sais !! » - « quoi ? » - « et si ce bruit était à l’ origine de la zomfication des gens ? » - « disons que c’est fort probable… » - « il suffirait de trouver la source du bruit et de la détruire ! Et hop dézombifier ! » - « c’est plus facile à dire que à faire » - « qui ne tente rien n’a rien ! » - « ok on fait ça, mais comment localiser la source ? » - « simple, on attend que le bruit recommence a retentir et on essaye de le repérer a l’oreille » - « euh ouais ok… » Les trois filles s’assirent dans les escaliers, à l’abri des zombies, attendant le bruit. L’attente semblé longue, trop longue, les minutes ressemblait à des heures, et la fatigue se faisaient ressentir. - « j’en ai marre … ça tombe il n’y a aucuns liens avec le bruit qu’on a entendu tous a l’heure… » - « Maureen à raison… moi aussi j’en ai marre d’a….. » Le bruit retentit au même moment. - « hum …. Vous disiez ? » - « ok j’avoue que sur ce coup là ta de la chance » - « mais taisez-vous !! » Tout le monde se tu. Elles écoutèrent le bruit attentivement. Puis le bruit s’estompa comme les fois précédentes. - « ça vient du palais des beaux-arts on dirait ! » - « oui ta raison ça vient de la gauche » - « allons-y ! » - « mais c’est à la place de la République ! Là d’où nous venons ! On ne peut pas retourner là où il y a la réunion de la Zombie Walk, c’est trop risquer ! » - « va bien falloir prendre le risque si tu veux pas rester cacher là pendant 3 jours !! » - « pff d’accord… » Toutes les trois allèrent jusqu’au Palais des Beaux-Arts. Mais Claire se stoppa nette avant la fin de la rue, Maureen et Gwendoline se bousculèrent. - « c’est là… » - « okay on est déguiser alors je propose qu’on se fonde dans le décor » - « bonne idée » Claire avança la première. Suivie par Gwendoline et enfin Maureen. Toutes les trois tremblait par peur de se faire repérer. Elles arrivèrent devant l’entrée du Palais des Beaux-Arts. - « oooooooooooookkkkkkkkkkkkkkkkkkk jjjjjjjjeeeeeeee crrrrrrrroiiiiiiiiiiis qqqquuuuueeee c’eeeessssttt laaaaaaaaaaaaaa » - « ooooonnnn eeennnntttrrreeeee » Elles entrèrent. Claire sur sa droite et prit les escaliers qui mener à l’étage, les peintures. Gwendoline resta au rez-de-chaussée dans les sculptures. Et Maureen descenda au niveau -1, le Moyen âge. Elles étaient plutôt tranquilles pour le moment, pas beaucoup de zombies étaient dans le palais. Claire regardait les moindres détails sur les tableaux, lisez les écriteaux, vérifier sous les bancs et les chaises, elle voulait a tous pris trouver la clé de ce mystère. Gwendoline, elle, étant au rez-de-chaussée, elle alla d’abord voir dans la loge des vigil, regarda dans les tiroirs des bureaux d’accueils, puis examina les sculptures. Quand à Maureen, elle alla voir dans la bibliothèque, dans la salle d’expositions temporaires et dans l’auditorium et ensuite s’attaqua aux objets d’arts du Moyen âge et de la Renaissance. Mais aucunes des trois ne trouva quelques choses, elles se rejoignirent au rez-de-chaussée, a côté de l’entrée. - « vous avez trouvé quelques choses vous ? » - « absolument rien d’étrange » - « rien non plus… » - « mais il y a forcément quelque chose !! On a pas rêvé, ça venait bien d’ici » Gwendoline s’appuya contre un bureau. - « je ne voie vraiment pas c’est quoi, ni où sais … » - « moi non plus … » Mais tous d’un coup le cri strident qui les avait déjà guidé ici se remis à hurler. Mais cette fois ci c’était proche, tous prêt, à quelques mètres peut-être. Gwendoline et Maureen s’effondrèrent par terre. Claire qui avait ses écouteurs dans les oreilles, car pendant sa recherche elle s’ennuyer, se baissa fortement mais ne tomba pas. Le crie s’arrêta encore une fois. Gwendoline et Maureen restèrent par terre, sans bouger. Claire par contre se releva, elle pensait avoir trouvé la solution. Les lustres de Gaetano Pesce !! Elle était là la solution à cette énigme ! Il devait y avoir un empli pro logique à l’intérieur d’un d’entre eux qui était relier à la stéréo de la scène de la Zombie Walk Partie. Claire alla dans la loge des vigile et pris un Tazer de poche. Elle se mis devant l’un des Lustres et mis le Tazer en marche, comme les lustres étaient grand et gros, le Tazer n’eu pas beaucoup de mal à frapper juste. Un immense éclair bleu apparu. Il éblouit, Claire qui se cacher les yeux, tellement le rayon lumineux était fort. Mais elle comprit vite que le lustre aller exploser, alors elle courut vers Gwendoline et Maureen, eu juste le temps de les mettre derrière le bureau et de baisser la tête quand le lustre éclata en mille morceaux. Tous les vrais faux zombies de Lille reprenèrent leurs esprits petit à petit. Claire avait réussi. Gwendoline et Maureen aussi se réveillèrent, comme après une bonne cuite. Les filles rentrèrent chez elle, épuiser par cette après-midi. Mais personne ne connue jamais la vérité sur les sauveuse de cette catastrophe. Tous comme personne ne connaitra jamais qui ou quoi était derrière tout ça.
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| | | Sunetsu Ranger violet - souveraine de Kazée
Messages : 5218 Date d'inscription : 25/05/2011 Age : 27
| Sujet: Re: Les Histoires de Nian-Takerette Sam 8 Déc - 12:41 | |
| Une autre ? | |
| | | Nian-Takerette Vainqueur du concours photo de Noël
Messages : 1720 Date d'inscription : 12/01/2012 Age : 26 Localisation : Japon
| Sujet: Re: Les Histoires de Nian-Takerette Sam 5 Oct - 13:46 | |
| Six pieds sous terre : - Spoiler:
Nous étions le 31 octobre. Aujourd'hui c'est Halloween. Cela allé bientôt faire un an que j'avais vécu la pire nuit d'Halloween de toute ma vie. Moi Iwa et ma sœur jumelle Nian, vivons dans la maison de nos parents décédés, de l'autre côté de la ville. Ce soir-là, je rentrais du travail, oui j'avais enfin trouvé après plusieurs mois de recherches un petit boulot comme serveuse, pas très bien payée, mais juste assez pour me faire vivre moi et ma sœur. J'étais fatiguée, alors je ne me suis pas attardé comme Nian devant la télé. J'étais parti me coucher. Je commençais à m'endormir quand j'entendis le vent souffler dans mes cheveux, j'ouvris les yeux. Aux pieds de mon lit, un homme me fixant était là. Je me suis levait d'un coup, me collant contre le mur de ma chambre. L'homme essaya de m'attrapait, pour me défendre je lui est jetait mon oreiller dans la figure. J'essayai de regagnait la porte de ma chambre pour partir, mais à peine je fût arrivait devant celle-ci qu'une petite chose piquante me transperça le dos. Je me suis écroulé par terre et ne put m'empêcher de fermer les yeux, comme droguer. Quand je me suis réveillait, j'étais dans un trou, surement en pleins milieu de la forêt, je n'en savais trop rien, le trou étais tellement profond que j'apercevais à peine le ciel et des branches d'arbres. A côté de moi, il y avait une gamelle pour chien et des croquettes à l'intérieur. J'ai poussé la gamelle. J'étais toujours en pyjama, j'étais couverte de boue et j'avais froid. J'étais en train de tâter le sol, quand je suis tombait sur un bout de terre très dur. J'ai tirait dessus...des os... humains surement. J'ai continué à grattait la terre. J'avais réussi à déterrer une paire de cheveux et encore des ossements. Ce trou était un véritable cimetière humain. Et apparemment que des femmes. Soudain une échelle de corde tomba du haut du trou. Et un homme descendit à la corde, un couteau dans la poche. Je me suis armée de ce que j'ai pu trouver. J'ai arrachait un os des cotes a un squelette. Puis quand l'homme fût arrivé au fond du trou, se retourna, et avança vers moi la main dans la poche, j'ai essayé de lui planté l'os dans le ventre. Mais il m'a attrapait le bras, je me suis débattu, et nous sommes finalement tous les deux tombaient par terre. Il était en train de reprendre son couteau quand je lui est transpercé l'épaule avec l'os. Il resta par terre, en poussant des petits cris d'agonie, mais il ne mourait certainement pas pour si peu. Alors j'ai couru vers l'échelle de corde, j'ai réussi à remonter. J'étais belle et bien en plein milieu de la forêt. J'ignorais cependant quelle foret, et où précisément. Mais je courais, loin très loin, sans savoir ou j'allais. Tout ce que je voulais c'est fuir ce fou qui m'avait mis dans un trou et essayer de me tuer. Finalement je suis arrivait jusqu'à une route, j'ai arrêtait une voiture, et on m'a conduit à l'hôpital. Quelques jours plus tard la Police m'avait interrogé. Personne ne me croyait, personne. La Police n'avait jamais retrouvé le trou dans lequel j'avais était mise, ni l'homme en question, ni même le moindre indice. Au bout de deux mois de recherches, tout le monde m'avait abandonné. On me mit dans un hôpital psychiatrique, pendant trois mois je vivais grâce à des calmants. Il m'avait comme laver le cerveau, on me fit comprendre que ce n'était que mon imagination et que ce mystérieux kidnappeur et ce trou dans la forêt n'exister pas. Au bout de ces trois mois, ma sœur jumelle me retrouva à moitié droguer et pris soin de moi durant quelques semaines. C'est après que ma sœur m'avait remis sur pieds que j'avais plus ou moins repris une vie normal. A chaque fois qu'une fille se faisait kidnappé dans de mêmes circonstances que moi, j'alerté la Police. Car je savais ce que je disais, je n'étais pas folle et je voulais absolument envoyer cet homme en prison, ou même pire le tuer. Mais ils se ficher bien de ce que j'avais à dire. A force il ne prenait même plus mes dépositions, et me renvoyer chez moi comme si j'étais folle. Ce jour-là j'avais travaillé comme une folle encore une fois, pendant que ma sœur étudié à la fac. J'étais épuisé et j'avais faim. Comme d'habitude je rentrais avec le petit 4x4 que nos parents nous avez laissé. Toujours comme d'habitude, après être rentré chez moi, j'ai retiré mon manteau, je suis allé voir le courrier et j'ai pris un petit gâteau. Je me suis assise dans le fauteuil à feuilleter le courrier, quand j'ai remarqué que quelque chose manquer étrangement à cette maison, c'était trop calme. D'habitude quand je rentre ma sœur me saute dessus et me demande comment a étais ma journée, car elle est rentre toujours avant moi à la maison. Et même si elle n'est pas là, elle laisse toujours un mot pour prévenir. Mais là pas de mots. J'ai posé le courrier sur la table du salon et je suis parti voir dans sa chambre, elle ne m'avait peut-être pas entendu rentrer car elle écoutait encore sa musique devant son ordinateur surement. J'ouvris la porte de sa chambre, personne. Son lit n'étais pas fait, son sac de cours était là, et même son portable. Je commencer à m'inquiéter un peu. J'ai étais voir dans la salle de bain, et un élément étrange m'a mis la puce à l'oreille... ses vêtements était encore la, soigneusement préparer pour aller à la fac, tandis que son pyjama avait disparu. Elle devait l'avoir sur elle. J'ai immédiatement appelé la fac, et ils m'ont dit que personne ne l'avait vu aujourd'hui. Je fis toutes les pièces de la maison même le jardin, toujours personne, Nian demeurer introuvable. Ce n'était vraiment pas normal. Mon instinct me disait que c'était lui, il était revenu et comme il ne m'avait pas eu il s'en prenait à ma sœur pour mieux se venger. Encore une fois tout le monde aller me prendre pour une folle j'en étais sûr, mais je devais aider ma sœur jumelle car c'est tous ce qu'il me rester. Je suis allé dans ma chambre, j'ai enlevé les couvertures et les draps de mon lit, et j'en ai sortis du matelas une boite. A l'intérieur une petite arme à feu que j'avais acheté en sortant d'internat au cas où. Je m'étais beaucoup entrainer avec, et le moment étais venu. Je pris la voiture et je partis immédiatement au commissariat au Police. Je redoutais l'entrevue avec le commissaire, mais je n'avais pas le choix. C'est d'un pas hésitant que je suis entrais. Près des bureaux deux Policiers monter la garde. - « Tony ! Regarde ! » - « oh non, pas encore elle » - « j'ai bien peur que si » - « que ce passe-t-il messieurs ? » dit l'inspecteur Brady. - « Patron, là-bas à la porte de votre bureau » - « Qui es-ce ? » - « et bien quand l'ancien commissaire est partis mais il ne vous la peut-être pas dit mais c'est une folle qui croit qu'un homme enlève des jeunes femmes, les met dans un trou dans la forêt et les tues et .... » - « un tueur en série ? » - « oui mais il ne faut pas la croire elle vient ici au moins 2 fois par mois en prétendant que une nouvelle fille a était enlever .... » - « hum je vais voir ça » Brady alla jusqu'à son bureau. - « Mademoiselle que me vos votre visite ? » - « tiens où est l'ancien inspecteur de la criminel ? » - « il est à la retraite, et c'est moi le nouveau commissaire maintenant » - « oh je vois » - « entrez donc dans mon bureau, nous n'allons pas discuter dans le couloir » Je le suivis. Etrangement il me plaisait bien celui-là, il n'avait pas l'air désagréable comme l'ancien, mais un jeune homme gentil et à l'écoute. On s'installa dans son bureau. - « Alors quelle est votre problème ? » - « ma sœur a était enlever, il est revenu » - « qui ça « il » ? » - « L'homme qui m'a enlevé l'année dernière a la même période. Comme je suis la seule qui a réussi à s'échapper, il est venu se venger et a pris ma sœur » - « Depuis combien de temps à elle disparu ? » - « ce matin » - « ce matin seulement ? Qu'es ce qui vous faits dire que c'est ce mystérieux individu et qu'elle n'est pas simplement allais des amis ? » - « Ma sœur ne part jamais sans m'avertir, de plus son sac de court et son portable son encore dans sa chambre et surtout elle n'a pas de vêtements sur elle, elle est en pyjama » - « comment pouvais vous le savoir ? » - « ses habits était encore prêt dans la salle de bain, et son pyjama n'est plus là » - « un pyjama parti ? Vous n'avez pas appelé ses proches ? » - « La personne la plus proche, c'est moi. Et je ne pense pas qu'elle est allé à une pyjama parti en pyjama directement ... » - « c'est très bizarre... » - « par contre j'ai appelais la fac, et on ne la jamais vu aujourd'hui, vous n'écrivais pas ce que je vous dis ? » - « Je ne peux prendre votre déposition que si votre sœur est portée disparu pendant 48h, or cela ne fait même pas 24h » - « Mais dans 48h il sera beaucoup trop tard !! Il faut partir à sa recherche maintenant !!» - « je suis désolée mais je ne peux pas pour le moment, néanmoins je vous donne mon numéro de téléphone, en cas ou vous avez un problème n'hésitez pas à m'appeler » Je suis parti sans dire au revoir, la tête baisser en pensant à ma sœur qui devait être morte de peur. J'avais compris que la meilleure manière de retrouver ma sœur, c'était de la rechercher moi-même. Cependant comment j'allais faire ? Ça je n'en avais aucunes idées. Je suis retourné chez moi. Je savais que si je ne la retrouver pas avant cette nuit, il l'a tuerais ce soir. J'étais rentré chez moi. Mais je ne savais toujours pas quoi faire, soudain j'eu une idée. Je suis allé chez mon voisin d'en face. - « Bonjour monsieur Patterson, Je me demander si cette nuit vous n'auriez pas entendu ou vu quelque chose d'inhabituel... » - « .... » - « euh... je suis désolée de vous demander ça... je n'aurais peut-être pas du... » - « vers une heure du matin, je regarder une série que j'adore, quand une camionnette a klaxonner plusieurs fois, juste là devant la maison avec de pierres blanche » - « vous êtes sérieux ?? Oh mon dieu c'est chez moi... c'est chez moi... vous... vous n'avez pas remarqué autre chose ? Cette, cette camionnette comment était-elle ? » - « elle était bleu et grise avec un logo dessus, surement un plombier, ou un serrurier, peut-être un électricien j'en sais trop rien... » - « oh merci monsieur ! » - « mais pourquoi vous me demander ç... » Je ne pris pas le temps de lui répondre, je suis reparti tout de suite chez moi et j'ai foncé sur Google, à la recherche de ce logo. J'ai mis une bonne trentaine de minutes à trouver ce logo, mais il n'y avait pas de doute, c'était forcément lui, le seul logo qui était sur une camionnette grise et bleu. La seule entreprise dans le coin se trouver en ville, une petite compagnie d'électricité. J'y suis allé sans plus attendre. Je suis entrais dans une petite ruelle. Je suis sortie de ma voiture, et je suis entrée dans la petite boutique. - « je peux vous aider Mademoiselle ? » - « euh oui...ma sœur a étais... Le vélo de ma sœur a était volé cette nuit, et un de mes voisins m'a dit qu'il avait vu une de vos camionnettes tous prêt alors je me demander si le conducteur de votre véhicule avait vu le voleur ? » - « impossible, nous ne travaillons pas après 20h, alors la nuit encore moins » - « vous en êtes sur ? » - « absolument certain » Je suis sorti, déçu de n'avoir rien trouvé. Le temps étais compter je devais faire vite. Quand un homme sortie du magasin et m'interpella. - « hey j'ai entendu ce que ta dit à mon père » - « tu peux me renseigner ? » - « peut-être » - « d'accord » dis-je en partant - « hey attend ! Hier soir, un gars est venu à la boutique et ma payés 300 dollars pour que je lui prête une camionnette, il m'a promis qu'il me la rendait. Et il a tenu sa parole, ce matin la camionnette était juste là, à la place qu'elle a maintenant, avec les clés sur le pneu avant » - « qui était ce type ? » - « il a dit qu'il s'appeler « Dick » je crois » - « Dick ? Dick comment ? » - « je ne sais pas il n'a rien dit d'autre » - « Tu en es sur de sûr ??? Comment étais cet homme ?? Son visage comment étais-t-il ?? Il a laissait quelque chose ?? » - « calme... J'ignore comment étais son visage, il porter une capuche et des lunettes. Il était en jogging noir il me semble. Et la seule chose qu'il a laissait dans la camionnette c'est un ticket de magasin que j'ai jetais à la poubelle. - « Il me faut ce ticket de caisse !! » - « mais pourquoi faire, si c'est juste pour retrouver un vélo... » - « donne-moi tous de suite ce ticket !! » - « euh ok calme, il est dans la poubelle là-bas encore je pense » J'ai couru vers la poubelle, j'ai fouillais dedans et en effet j'ai trouvais un ticket de caisse datant d'hier soir. Dessus était écris le nom d'un magasin de bricolage pas très loin d'ici. Les achats étaient du ruban adhésif, de la corde, des ciseaux, et autres matériaux. Je suis repartit à ma voiture et j'ai foncé. Une voiture qui allait au même moment qui s'engager dans la ruelle me rentra dedans. J'étais maudite ou quoi ?? Mais je n'avais vraiment pas le temps de régler ça. Un gars sortit de sa voiture, une casquette sur la tête, un pantalon large et des baskets. - « Wesh M'dame ! Va falloir faire gaffe meuf ! On va régler ça en 5/2 » - « excusez-moi mais je n'ai vraiment pas le temps » - « ça c'est ce qu'on va voir meuf, tu vas tout de suite sortir de ta bagnole ou ça va mal finir c't'histoire ! » Sans réfléchir, j'ai sortis mon arme. - « dégage de là où en effet ça va mal finir pour toi » - « ok ok ok ok on se calme la p'tite dame ... s'cuse ! je vais repartir tranquille comme si de rien étais... » - « voilà c'est bien » J'ai rangé mon arme et j'ai appuyé sur l'accélérateur. Mais qu'est-ce que j'étais en train de faire ? Cela ne me ressemblait pas. Mais je devais absolument retrouvait Nian avant la nuit, il avait déjà pris un an de ma vie, alors si en plus il me prenait la seule personne de ma famille qui me reste... Je devais en finir avec lui une bonne fois pour toute et retrouver ma sœur. Alors que je conduisais, je reçu un appel. J'ai décrochais. - « Allo ? » - « Iwa ? C'est l'inspecteur Brady ! » - « Que me voulez-vous ? » - « Nous savons que vous porté une arme, et vous savez comme moi que après être passé à l'internat de l'hôpital psychiatrique vous n'avez pas le droit d'en posséder une» - « qui vous dit que j'ai une arme ? » - « un témoin nous a dit que vous l'avez menacé avec après avoir enfoncé sa voiture, Iwa j'ai lu votre dossier, il faut que cela cesse. Si vous ne revenez pas tout de suite au post, je serais dans l'obligation de lancer un avis de recherche contre vous » - « ça cessera quand il sera mort » Je lui est raccrocher au nez. Tant pis. Cet inspecteur est peut-être nouveau mais il m'énerve comme l'ancien. Pendant un instant j'avais cru qu'il me croirait lui, mais on ne peut compter que sur sois même. J'étais arrivé au magasin de bricolage. J'ai garé la voiture sur le parking et je suis entrée dans la boutique. Et je suis parti m'adresser au vendeur. - « Bonjour monsieur » - « Bonjour Mademoiselle, que puis-je pour vous ? » - « Je me demander si vous vous rappeler de l'individu qui a acheter ça » Je lui est tendu le ticket de caisse. - « Oh oui je m'en souviens ! C'était un type dans la trentaine, je m'en souviens car c'est le seul de la journée qui avait acheté du ruban adhésif et parler autant » - « il vous parlez de quoi ? » - « de sa vie si je puis dire » - « il disait quoi ? » - « Il m'a parlé de sa voiture ! Il avait l'air d'en être très fière ! » - « Il l'a décrit ? » - « pour sûr, c'est une Passat cc rouge à ce qu'il m'a dit » - « vous a-t-il dit quelque chose d'autre ? » - « oui qu'il avait une lettre d'expulsion. Son immeuble allait être rasé pour agrandir le casino qui se trouve juste à côté » - « quel casino ? » - « le casino royal sur la 19eme rue ! » - « D'accord merci beaucoup ! » - « mais pourquoi vous voulez savoir tout ça ma petite dame ? » - « euh... je recherche un vieille ami à mon père, c'est une surprise pour son anniversaire... » - « au je voie ! Bonne chances ! » - « Merci ! » J'allais sortir du magasin quand je vis que des policiers étaient près de ma voiture. Merde... Il fallait que je trouve quelque chose. Je suis reparti voir le vendeur. - « excusez-moi encore une fois mais j'ai une urgence féminine si vous voyez ce que je veux dire... il y a-t-il des toilettes ? » - « au bien sûr, suivez-moi c'est par là » Le vendeur me conduisit jusqu'au toilettes qui se trouver tout au fond du magasin. Il partit après m'avoir indiqué la direction. J'ai fermait la porte. Et j'ai cherchait une issue. Il y a avait une petite fenêtre qui donner sur la rue. Pendant ce temps les policiers étaient entrés dans le magasin et allèrent vers le vendeur : - « Bonjour » - « Bonjour... que me vos la visite de policiers dans mon établissement ? » - « nous sommes à la recherche d'une jeune femme, cheveux châtains, assez grande environ 1m75, qui porte une arme de calibre 38 sur elle» - « je ne sais pas si c'est elle que vous parlez mais une jeune femme correspond à cette description, mais j'ignore si elle porte une arme » - « montrer nous ! » Le vendeur conduit les deux policiers jusqu'au toilettes. Puis se recula. - « Mademoiselle ? Ouvrez ! » - « ... » - « Si vous n'ouvrez pas nous entrons de force ! » - « à trois ! un, deux, trois !!! » Un policier défonça la porte avec sa jambe. Ils entrèrent, mais il n'y avait plus personne. J'avais réussi à passer par la petite fenêtre et sortir par derrière. J'ai couru jusqu'à un quartier résidentiel. Ce qui est bien aux États-Unis, c'est qu'on n'a pas de mal a passé dans les jardins des autres. J'ai traversé au moins 4 à 5 jardins pour finalement me cacher derrière des arbres en attendant que les patrouille de police partent. Mais je ne pouvais pas m'éterniser ici. Après avoir échappé aux agents de Police, je suis partis dans voir l'immeuble en question que m'avait parlé le vendeur du magasin. Il n'avait pas mentit, dans la 19eme rue se trouvait bien un immeuble juste à côté du casino royale qui allait être démolie. Cependant j'ignorais dans quel appartement il habitait. Puis je vis un jeune homme avec des rollers. - « hey toi ! » - « ouais ? » - « t'es du quartier ? » - « oui pourquoi ? » - « Dit moi tu ne connaitrait pas un homme surnommé « Dick » qui a une grosse Passat rouge comme voiture ? » - « oh ouais c'est Jimmy Conrad, le gars avec la bagnole de ouf ! oui je le connais il habite dans cette immeuble, à côté de chez moi, pourquoi ?» - « C'est un vieil ami de ma famille et comme ça fait longtemps qu'on s'est pas vu, j'étais venue moi-même l'inviter... Il habite au numéro ... ? » - « le 113, première étage » - « merci beaucoup ! » J'ai traversé la rue, et je suis donc entré dans cet immeuble. C'était sombre, lugubre et il faisait froid. J'ai montait jusqu'au première étage comme on m'avait dit. Je suis arrivait devant la porte de l'appartement 113. J'ai repris ma respiration et j'ai frappais a la porte. Mais personne ne m'a ouvert. J'ai frappais une seconde fois. Toujours personne. J'ai poussais la porte et elle était ouverte. Je suis entrée mon 38 a la main. L'appartement étais vide, plus aucuns meubles. J'ai tout de même visitais l'appartement si je puis dire. Je suis allais dans la petite pièce du fond. Toujours rien, ni personne, ce Jimmy avait disparue, envoler. Tous ce qu'il y avait dans cette pièce, c'est un petit étalage encore éclairé par une petite lampe. Je me suis avancé, sur l'étalage il y avait une corde, un paquet de croquettes pour chien, et du ruban adhésif. Tous ces objets m'étaient familiers. J'avais de plus en plus peur qu'il avait déjà tuée Nian... Je suis donc partit, je n'avais plus rien à faire ici puisqu'il n'était pas là. En sortant de l'appartement, j'ai vu un papier par terre, je me suis baissais et je les ramassais. Je n'en croyais pas mes yeux, c'était une carte avec le logo du café où je travaillais. J'étais en train de partir quand un homme me surpris dans l'appartement. - « Vous là ! Vous faites quoi ? Vous n'avez pas le droit d'être ici ! » - « Et vous qui êtes-vous ? » - « je suis le concierge de cet immeuble, je vous demande de partir tous de suite » Après encore une fois avoir raconté une histoire bidon pour qu'on me laisse tranquille, le concierge ma raccompagner jusqu'à la sortie. - « alors comme ça vous connaissait Jimmy Conrad ? » - « oui on se connais depuis un certain temps maintenant... Vous le connaissais bien ?» - « ah vraiment ? Il est comment ? Si je demande c'est parce que il ne parle pas beaucoup, c'est un homme très mystérieux... une amie dit qu'il a des yeux de violeur... Mais oui je le connais un peu» - « il est en effet mystérieux... Vous ne seriez pas ou il est parti par hasard ? » - « Où exactement je ne sais pas mais il a dit qu'il partait plus au Nord » - « Merci...Dites ? vous voulez vous faire un peu d'argent ?» - « je ne dis jamais non à un peu d'argent » - « Vous avez une voiture ? » - « oui, elle est juste là, pas très neuve mais bon elle roule bien » - « 200 dollars pour me la prêter ? » - « d'accord, mais qui me dit que vous me la rendez bien ? » - « Si je ne vous la rend pas demain soir à 18h c'est que je serais morte » - « ... » Je lui est donnai l'argent cash et je pris sa voiture. J'ai roulé jusque chez ma collègue et amie Jenny qui habitais de l'autre coté de la ville. Quand je suis arrivait chez elle, elle ma tout de suite ouvert. - « Oh Iwa ?! » - « Bonjour Jenny » - « Entre voyons » Je suis entrée sans attendre. - « Alors tu as quelque chose à me dire... ? » - « L'homme de la table 11, celui qui me donnais toujours de bons pour boire juste pour lui avoir servis une tasse de café, c'est lui ! » - « c'est lui ? Tu veux parler de Jim ! » - « Jim ?? Tu connais son nom ?? » - « euh oui, je le connais depuis longtemps son nom, mais qu'entent tu par « c'est lui » ?» - « Celui qui ma enlever il y'a un an !! C'est lui !! » - « Quoi ? mais non qu'es ce que tu racontes ? » - « Je te dis que c'est lui Jenny, je t'en prie qu'es ce que tu sais d'autre, s'il te plait, il a enlevait ma sœur jumelle Nian, je dois a tous pris la retrouver avant cette nuit !! » - « ... » - « Jenny s'il te plait !!!! » J'avais les larmes aux yeux, je n'en pouvais plus. Il était déjà le soir et je n'avais toujours aucunes idées de l'endroit où était ma sœur. - « Et bien je les jeter à la poubelle mais... » - « mais ?? » - « Hier soir il m'a donnait son numéro de téléphone... » - « Quoi ?? Donne-le-moi s'il te plait !! » Jenny alla chercher le papier dans la poubelle. - « Voila » - « Merci Jenny je te revoudrais ça » Je lui ai pris le papier des mains et je suis immédiatement parti. - « Iwa !! Je t'en prie ne fait pas n'importe quoi ! Si c'est vraiment lui qui a ta sœur que va tu faire ?? Il va te tuer ! » - « je le tuerais avant » - « Mais enfin, tu n'y pense même pas ? C'est de la folie ! Rendez-vous avec son agresseur on n'a jamais vu ça !? » - « Il y a quelques minutes tu me disais que ce n'était pas un kidnappeur... » - « je sais mais... » J'ai à peine ouvert la porte que la Police était déjà à ma voiture. - « Oh non c'est pas vrai » - « Iwa ? Que se passe-t-il ? La Police ? » Jenny vit dépasser mon arme de ma poche. - « Mon dieu Iwa qu'es ce que c'est que ça ?? » - « rien je t'assure » - « Je ne te reconnais pas, je vais dire à la Police que tu es là, parce que c'est toi qu'ils recherches pas vrai ? » - « Jenny je t'en supplie ne fait pas ça, tu ne peux pas comprendre !! Prête-moi ta voiture s'il te plait ! » - « N'y pense même pas » - « Jenny...je...s'il te plait, que va tu ressentir quand tu seras un jour que ma sœur a réellement était kidnappé tous comme moi l'année passer à la même période, et que ce salaud aura tué ma sœur et que je n'aurais rien pu faire car je n'avais pas de voiture !!?? » - « Iwa...Les clés sont... sur la petite table du salon... » - « Merci » - « Mais ne reviens plus jamais ici après c'est compris ? » - « Compris » - Je ne veux plus te revoir avant que tu es retrouvé ta sœur ! » Je suis sortie par la porte de derrière, et j'ai pris sa voiture. Il faisait déjà presque nuit, j'ai roulais jusqu'à un carrefour, j'ai pris la gauche et je me suis arrêtais sur un parking. J'avais les mains qui tremblais, mais j'ai tout de même pris mon portable et composé le numéro de ce certain Jimmy Conrad. J'ai attendu mais personne n'à décrocher, ma seule chance de retrouver ma sœur venait de partir en fumée... Quand soudain on me rappela. J'ai immédiatement décroché. - « Allo ? » - « Allo ? » - « Qui es ce ? » - « Iwa » - « Iwa ? Iwa comment ? » - « Tu sais qui je suis » - «Oh Iwa ! La jolie serveuse du café ou je me rends régulièrement ? Comment vas-tu ?» - « Arrête de te payer ma tête, je sais pourquoi tu viens aussi souvent dans au Geko's Café » - « pour boire du café ? » - « pour moi » - « et bien si tu veux un rendez-vous avec moi, pourquoi ne pas me l'avoir simplement demandé au lieu de m'agresser ? » - « Qu'à tu fais de ma sœur ? » - « Pardon ? » - « Où est Nian ? » - « je ne voie pas de quoi tu parles » - « au si tu sais très bien de quoi je parle ! - « non » - « Nian ! Ma sœur jumelle que tu as enlevé et mis dans je ne sais qu'elle trou au milieu de forêt nationale de Tongass !! Tu savais très bien que je travaille à partir de 19h et tu en a profité pour la kidnappé et me faire souffrir car tu sais très bien que c'est la seule famille qu'il me reste ! En plus tu n'es venu au café que à partir de 22h ce qui t'a laissais environ deux heures pour la prendre et la jeter dans un de tes trou !! » - « Tu ne serais pas la fille que personne ne croit ? Celle qu'on a interné car elle prétendait avoir était mise dans un trou en pleine forêt ? La seule d'une longue série qui a réussi miraculeusement à s'échapper de ce trou. Certains disent que tu la vaincu. Il doit se sentir très humilier tu ne crois pas ? » - « Comment sais-tu tout ça ? » - « oh tu sais, les journaux, les magazines, la télévision... » - « Où a tu mis ma sœur ? » - « Encore avec cette histoire ? Et si on se rencontrer ? Tu verrais que je ne suis pas un monstre comme tu le prêtant, et peut-être te plaire ? Qui sait ? » - « ne compte pas trop là-dessus, je viens ou tu viens ? » - « tu viens » - « où ? » - « Actuellement je n'ai plus de logement, je suis comme qui dirais un sans domicile fixe en attendant de réglé quelques affaires puis partir au Nord. Sort de la ville, au pont tourne à droite, tu arriveras dans la forêt, prend la première à droite, tu rouleras dans un petit chemin forestier pendant environ 5minutes, là tu verras un croisement, prend à gauche. Quand tu verras un tronc d'arbre de barrer la route tu continueras a pieds 500 mètres. Puis il y auras une entaille très visible dans un arbre. C'est là. » - « J'arrive » - « Je t'attend » Il a raccroché à ce moment-là. D'accord j'avais un peu peur quand même, je l'avoue. Mais ce n'étais pas le moment de flancher. Alors que je commençais a redémarrer la voiture, je reçu encore un appel. - « Allo ? » - « Ici Brady » - « Encore vous ? » - « Où êtes-vous à la fin ?? » - « Je suis en route » - « En route ? Vous rentrez chez vous ? ça tombe bien nous y sommes » - « Pour le rencontrer » - « Qui ça ? » - « Celui qui m'a enlevé il y a un an » - « Vous n'êtes pas sérieuse ? » - « ... » - « Ecoutez c'est de la folie, nous avons retrouvé Nian, votre sœur » - « Comment ?? » - « elle est rentrée à la maison, elle était avec des amis » - « vraiment ? » - « oui vraiment maintenant rentrée à la maison immédiatement » - « je veux lui parler » - « ...impossible elle est partis se coucher » - « réveiller là » - « non, je vous assure elle est rentrée » - « je veux lui parler » - « c'est impossible » - « Vous bluffer » - « je ne bluff pas... rentrez !! » - « Si elle est vraiment là, demander lui pourquoi elle est sortie avec des amis en pyjama » J'ai raccroché, bien sûr que je savais qu'il bluffer. J'ai pris l'itinéraire qu'il m'avait donné, j'ai roulé pendant environ 15 minutes avant d'arrivais dans le chemin forestier comme prévu. J'ai encore roulais comme il m'avait indiqué, jusqu'à ce qu'un tronc me barre la route. J'ai hésité quelques minutes à sortir de ma voiture. Mais j'ai pris mon courage à deux mains, je suis sorti de ma voiture avec mon 38 dans la poche et une lampe torche. J'avais tous de même laissé les fars de la voiture allumé. La forêt était noire comme le néant, on ne voyait rien. Le silence régner en maitre... J'ai marchais les 500mètres, je suis arrivais dans une sorte de petit campement de Scout. Il y avait une tente, une petite table, des chaises renversées, et beaucoup d'autres choses éparpiller un peu tout autour. Je me suis avançais prêt de la table. Dessus il y avait 8 petites photos, c'était Nian !! Alors que je prenais les photos, les fars de ma voiture se sont éteints. J'entendais des bruits de pas derrière moi, devant moi, sur les coté, partout. J'ai marché en direction de la tente, mais les bruits ne cesser pas, j'ai contournais la tente et je suis arrivais aux pieds d'un trou. J'ai éclairé le trou, le corps d'une jeune femme était à l'intérieur. Nian ?? Pendant ce temps. - « Mais ou suis-je ? » Nian venait de se réveiller. Elle était entourée de vieilles planches. Elle n'était certainement pas dans un trou. Elle enleva le scotch qu'elle avait sur la bouche, et arracha avec des dents l'adhésif qui emprisonné ses mains. Elle se leva mais se cogna la tête sur quelque chose de très dur. Elle rempa jusqu'à une ouverture et sortit. Elle titubait. - « Qu'es ce que ? » - « au secours ... » - « Mais c'est Nian ?! » - « je...je... » - « C'est elle c'est la sœur de Iwa !! » Jenny était sur place avec les Policiers. Elle était une collègue d'Iwa mais aussi une amie des deux sœurs. - « NIIAN !! » - « Jenny... » Jenny couru vers Nian et la pris dans ses bras. - « Mon dieu que s'est-il passé ? » - « Je dormais encore, il m'a attrapé et attacher et enterrer dans l'ancienne cave condamné sous la maison » - « Mon dieu Iwa est partit » - « Comment ça ? Ou est Iwa ??? Ou est ma sœur ??!!! » - « Nian, elle est partis à la rencontre de ce type !! » - « Quoi ? » Nian ne pouvais plus garder son calme. Les Policiers juste à côté n'en revenaient pas. - « VOUS VOYEZ ELLE AVAIT RAISON !!! ELLE A TOUJOURS EU RAISON ET VOUS NE L'AVEZ JAMAIS CRU !! IL FAUT LA RETROUVER AVANT QU'IL NE LA TUE !!!! » - « Calmer vous !! » - « JE NE VAIS PAS ME CALMAIS !! RETROUVAIENT LA IMMEDIATEMENT !! ELLE VA SE FAIRE TUEE !!! » - « Nian calme toi » - « On va l'appeler elle va revenir » Brady essaya d'appeler Iwa mais sans succès. Nian tournait en rond dans la maison. - « Je vous l'avez dit !!!! Si ça se trouve elle est déjà morte !! Tout ça c'est de votre faute, vous ne l'avez jamais cru !!!!! » J'ai éclairais le trou, mais ce n'étais pas Nian, mais une autre jeune femme qui pourrissais la depuis un certain temps. Son visage troué avec le temps, m'étais toute fois familier, en effet c'était une fille portée disparue depuis 3 semaines dont j'avais encore pris la cause en vain. Alors que je me pencher pour voir, quelqu'un me poussa dans le trou. Je suis tombait direct sur le dos. Ma lampe était s'était casser avec le choc, et mon arme était par terre. - « Comme on se retrouve Iwa » - « Je le savais » Un homme descendit à la corde. J'ai attrapais mon 38. - « Qu'a tu fais de ma sœur ? » - « Ta sœur ? » - « Nian ?? Ou est-elle ?? » - « Je ne sais pas moi... » Il était arrivé au fond du trou, nous étions face à face, je pouvais enfin voir son visage après tant de mois. Il était assez grand, brun, les yeux marron avec un regard à vous glacer le sang. Il leva sa main. - « Tu reconnait ceci ? » - « Oui » - « L'os avec lequel tu as réussi à t'échapper il y a un an » - « Oui » - « Il est temps de te rendre la monnaie de ta pièce » Il fonça vers moi, l'os a la main. Arriver en face de moi, je brandis mon pistolet et je lui en ai tirais 1 dans l'épaule. Il s'écroula par terre, et avait lâché l'os. Je pris l'os et lui enfonça une nouvelle fois dans l'épaule. Je suis allais jusqu'à la corde et j'ai commençais à montais. Il m'a attrapé la jambe et je lui suis remis une balle, mais dans le bras cette fois. J'ai réussi à remonter. Quant à lui il était resté allonger dans le trou, prêt du cadavre d'une de ses victimes. J'ai remontais l'échelle de cordes. Il était pris dans son propre piège. - « Alors maintenant ? On fait moins le fier ! Dit moi tous de suite où est Nian !! » - « Bien jouer, je l'avoue tu es coriace, bien plus dur à avoir que cette pauvre fille à côté de moi » - « OU EST MA SŒUR ??!! » - « Pourquoi je te le dirais » - « Dit le moi sinon je te tue ! » - « Si tu me tue, tu perds la seule chance de savoir où elle est, appel des secours et je te dit ou elle est» - « D'accord » - « Appel d'abord les secours ! » Je lui est tiré dans la jambe. - « Ok Ok Ok... Elle est enterrer dans ton ancienne cave, sous ta maison, mais je t'en prie appel des secours, remonte moi ! » Je pris ses bouteilles d'alcool et je les ai vidés dans le trou. - « Qu'est-ce que tu fais ??? Tu m'as promis que tu appellerais les secours !! » - « j'ai menti » J'ai pris des allumettes et je les ai jetés dans le trou. Non je n'étais pas folle. Il ne mériter que ça après avoir tué toutes ses filles. J'ai jeté mon arme dans le feu et je suis reparti immédiatement chez moi, sans prendre en compte les hurlements qu'il faisait. Il allait mourir de toute façon. Je suis arrivait chez moi. J'ai vu que toutes les brigades de Police était là. - « Regarder c'est ... C'EST IWA !!! » cria Nian en train de courir dehors vers moi en pyjama. - « NIAN !! » - « Iwa mon dieu tu es vivante !!! » - « Toi aussi Nian » - « Mais que s'est-il passer ? Le rendez-vous ? Ilva revenir c'est sûr ! C'est toi qu'il veut il me la dit !! » Je les prise dans mes bras, je les serré très fort, et je lui ai dit toute la vérité. Nian m'écouta les yeux écarquiller, soulagée et terrifier à la fois. Elle me serra à son tour. - « Alors que s'est-il passer ? Vous l'avez rencontré ? » - « Non, il n'y avait personne » Nian et moi rentrons chez nous. - « Comment ça personne ? Et votre arme ? » - « Quelle arme ? Je n'ai jamais eu d'arme » - « Mais ce n'est pas possible ? Et l'homme qui a kidnappé votre sœur ? » - « Ce n'était que mon imagination Inspecteur »
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| Sujet: Re: Les Histoires de Nian-Takerette | |
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